RC Lens – Marseille : Nous avons aimé, nous n’avons pas aimé

Le match entre Lens et Marseille a tenu toutes ses promesses, que ce soit sur la pelouse ou dans les tribunes. Au final, même si les Sang et Or ont souffert pour obtenir les trois points de la victoire face à une belle équipe Marseillaise, ils réalisent la performance du week-end et démontrent que sur l’ensemble de la saison, une place qualificative pour la Ligue des Champions est plus que méritée.

Nous avons aimé :

– Cette victoire qui permet de redevenir second au classement.
– Le match de Loïs Openda, inarrêtable depuis plusieurs rencontres.
– Le 19ème but de la saison de Loïs Openda. L’international Belge n’est plus qu’à un but de Roger Boli.
– La conception du second but Lensois avec ce jeu à deux entre Sotoca et Frankowski pour servir Openda sur un plateau.
– Le fait, qu’après un énième poteau, Seko Fofana ait enfin trouvé la lucarne.
– Le match héroïque de Przemyslaw Frankowski.
– Les interventions musclées de Pascal Boulogne, l’intendant Lensois, auprès de ses joueurs, sur le bord de la pelouse lorsque cela chauffait entre les joueurs. Il ne fallait pas le chercher le Sébastien Chabal Lensois.
– Le match défensif et la générosité de Florian Sotoca.
– L’ambiance des grands soirs, prélude aux matchs de Ligue des Champions ?
– Que Clément Turpin ne fasse pas, pour une fois, de misères aux Lensois …
– La prestation misérable de Jonathan Clauss

Nous n’avons pas aimé :

– L’expulsion de Yannick Cahuzac, qui devra apprendre à maîtriser ses nerfs sur le banc de touche.
– La gestion du banc par le quatrième arbitre, souvent débordé.
– La prise de risque de Kevin Danso sur son duel avec Alexis Sanchez. S’il y a but, ce n’est plus le même match.
– La prestation dans son ensemble de Kevin Danso, très en dessous de ce qu’il montre chaque week-end.
– Le fait que Brice Samba prenne de nouveau un carton jaune, un second en deux matchs. Lens a besoin de son portier pour les quatre dernières rencontres !
– La prestation de Deiver Machado, qui revenait de blessure et qui n’a pas été aussi précieux dans son couloir qu’il ne l’a été lors des précédentes rencontres.
– T’était où Angelo ?
– La mauvaise foi d’Igor Tudor.