Hier soir, au Parc des Princes, Le PSG a fait un grand pas vers son 11ème titre de champion de France en battant Lens 3-0 en première mi-temps, réduit à 10 après seulement 19 minutes de jeu. Une évolution du schéma tactique et des changements de joueurs à la pause ont permis aux Sang et Or de se refaire une santé en seconde période, qu’ils ont finalement remportés 1-0.
Nous avons aimé
– Le fait de ne plus trouver de qualificatifs pour juger les prestations de Facundo Medina. Ce gars est énormissime, il ne serait pas étonnant de le voir sous peu en habit de titulaire en équipe d’Argentine. Une fois l’été venu, il faudra savoir le garder.
– La performance de Loïs Openda, esseulé en attaque mais qui a posé beaucoup de problèmes à la défense parisienne.
– Les corners, toujours précis des lensois, qu’ils soient tirés par Fulgini ou Frankowski.
– Que Kylian Mbappé soit à l’initiative de l’échange de maillot avec Loïs Openda. Une belle forme de respect envers celui avec qui il sera peut être à la lutte pour le titre de meilleur buteur, cette saison ou la saison prochaine.
– Le fait que Facundo Medina ne mette pas à exécution son plan diabolique vis à vis de Kylian Mbappé. 🙂
Nous n’avons pas aimé
– La faute grossière, inutile, qui plus est devant les yeux de l’arbitre, de Salis Abdul Samed, qui, au passage, aurait pu détruire la cheville d’Akimi. Un excès d’engagement qui enlève au RC Lens une victoire qui lui tendait les bras.
– Mais pourquoi diable Franck Haise a t-il attendu la pause pour procéder aux changements après l’expulsion de Salis Abdul Samed ? Thomasson et Fulgini, redescendus d’un cran, n’avaient pas suffisamment l’âme défensive pour pallier à la sortie de Salis Abdul Samed. L’entrée en jeu immédiate de Jean Onana aurait permis de densifier le milieu et empêcher les parisiens de s’installer dans nos 30 mètres comme ce fut le cas.
– La prestation moyenne de Brice Samba, le jour où il ne fallait pas.
– Le chicoté lancé par Kimpembe. Les Sang et Or ne chantent pas “Lens est magique”…
– Le match en demi-teinte de Thomasson, trop peu en vue, que ce soit en phase offensive ou en phase défensive.