Hier, en conférence de presse, Massadio Haïdara, le couteau Suisse de Franck Haise, s’est exprimé pour la première fois depuis sa prolongation de contrat (jusque juin 2025) avec le RC Lens.
L’international Malien, qui est capable de performer là où on le place, a abordé différents sujets :
Pourquoi avoir accepté la prolongation :
La meilleure chose pour moi était de reste à Lens que de partir. Pour moi, l’herbe n’est pas plus verte ailleurs qu’au RC Lens. Je suis dans un environnement que je connais très bien, vu ma mentalité et ce que je peux apporter, je sais que je peux rendre des services au club. Les dirigeants m’ont fait confiance aussi, j’en avais besoin, à partir de là, ma décision était prise.
Objectifs pour la fin de saison :
“Aller le plus haut possible, aujourd’hui, on est deuxième, mais à la dernière journée de championnat à quelle place serons nous ? La première étape, c’est de terminer plus haut que les saisons précédentes, ce sera un plus et une progression. La saison parfaite, c’est accrocher une place Européenne. On ne se met pas d’objectifs précis, ce n’est pas pour autant que nous ne sommes pas ambitieux.”
L’arrivée d’Adrien Thomasson :
“On le connait bien car c’est un habitué de Ligue 1. C’est un joueur qui pourra nous apporter quelque chose de différent, une option de plus pour le coach et pour nous aussi. Il faut qu’on puisse profiter de ses qualités pour la fin de saison parce qu’on aura besoin de tout le monde.”
Sa polyvalence :
“Quand on m’a demandé de dépanner à droire en plein cours de match, je n’étais pas préparé. Central gauche comme à droite, on demande la même chose, c’est plus au niveau des orientations et des repères. Le premier match a été correct, puis j’ai analysé le match, ce que j’ai bien et moins bien fait, afin de m’améliorer. On avait de bons résultats donc c’était plus facile pour moi de m’adapter. Maintenant, je sais que je peux jouer central droit, gauche, latéral, piston, je peux même essayer autre chose…”
Le Mali :
“La prochaine coupe du monde, il y aura 9 équipes en plus, ça donne plus d’espoirs s’y être.”