Dans un article consacré à l’ambiance au centre d’entraînement et dans le vestiaire lensois, le journal l’Equipe a énuméré les surnoms donnés à plusieurs joueurs du RC Lens.
On connaissait déjà “La perceuse” (Jonathan Gradit) et “Papi” (Jean Onana), voici qu’arrive “Poulette” (Florian Sotoca), “Tchoupi” (Loïs Openda), “La forteresse” (Steven Fortes), “Salissou” (Salis Abdul Samed), “Brissou” (Brice Samba) et “Maskass” (Massadio Haïdara).
L’incroyable saison de Lens fait éclater l’unité d’un groupe où la notion de famille revient dans chaque discours. “On forme vraiment une famille, peu importe le statut de chacun, tout le monde se respecte. Je n’avais jamais connu un vestiaire comme ici”, avait notamment déclaré Kevin Danso mercredi en conférence de presse.
“Quand je passe une tête, je ne vois que des sourires, de la bonne humeur, pas d’état d’âme. Il y a une cohésion dingue, et ça fait la force de ce groupe.” confirme Walid Mesloub, devenu entraîneur adjoint de la réserve.