Le board lensois devra vraisemblablement faire un choix difficile cet été. Désigner celui ou ceux qui pourront quitter le club sans que ceci ne nuise réellement à la cohérence du groupe.
Gervais Martel, par le passé, a connu cette situation et a du trancher. Pour l’Equipe, l’ancien président du RC Lens se remémore la fin de la saison 98, l’année du titre, où il a du laisser partir Stéphane Ziani à La Corogne, et Anto Drobnjak au Japon :
“Les Espagnols avaient proposé un salaire quatre fois supérieur à Stéphane. Je lui avais dit : “Deux fois, je peux, quatre, c’est impossible.” Il a fallu les remplacer. L’important est de conserver un équilibre d’effectif. S’il y a un ou deux départs, ce n’est pas dramatique. Ça veut dire que le club encaisse de l’argent.”
En 2023, les Ziani et les Drobnjak s’appellent Samba, Danso, Medina, Fofana et Openda…