Jonathan Clauss : Il fallait s’y attendre

Deux sélections en équipe de France dont une titularisation contre l’Afrique du Sud, la découverte de Clairefontaine, une quinzaine pleine de sollicitations médiatiques, Jonathan Clauss n’a été que l’ombre de lui-même à Strasbourg.

Le piston lensois n’a jamais été en mesure de faire la différence sur son flanc droit. En difficulté sur les phases défensivives, les gestes furent hésitants sur les phases offensives avec de l’inabituel déchet technique. Les centres, son point fort, furent approximatifs. Bref, c’est la première fois de la saison que le nouvel international lensois déjoue à ce point.

Rétrospectivement, on ne peut s’empêcher de repenser aux propos de Franck Haise, qui ne souhaitait pas que la presse en fasse de trop au sujet de son piston. Le coup de moins bien était prévisible, Jonathan Clauss avait certainement besoin de se vider la tête avant de rejouer. Le coach eut été bien inspiré en titularisant Frankowski à droite et Machado à gauche. Mais il est certainement plus facile de refaire le match après coup …