C’est certainement la première fois de la saison que le gardien lillois passe une soirée aussi tranquille. Si Gervais Martel avait pris la parole, il aurait pu dire que même sa grand-mère aurait été capable de faire le job…
L’absence de la percussion de Ganago sur le front de l’attaque s’est considérablement fait sentir. Jean, Sotoca, puis Kalimuendo et Banza n’ont jamais réussi à mettre en danger Mike Maignan. Circonstance aggravante, Gaël Kakuta était, pour la première fois de la saison, dans un jour “sans”.
Muselé par Renato Sanches, le meneur de jeu lensois s’est trop vite montré agacé par la situation et a perdu une partie de ses moyens. II a joué trop bas pour se montrer dangereux et à sa décharge, il n’a pas bénéficié des bons appels de ses attaquants. Une seule frappe à son actif qui n’a pas effrayé le portier lillois.
Sur ce match, les observateurs auront pu constater que la “Kakuta dépendance” n’était pas qu’une vue de l’esprit …