Outre les insuffisances offensives qui pénalisent les Sang et Or depuis le début de l’année civile, le RC Lens est également victime de décisions arbitrales contraires.
On peut d’ailleurs se demander si la petite sortie humoristique du service com du club au sujet de la parodie d’arbitrage lors du récent Brest-Lens n’aura pas été contre productive, tant les erreurs se multiplient en défaveur du RC Lens.
Hier, lors du match des quarts de finale de Coupe de France entre le FC Nantes et le RC Lens, monsieur Turpin a accordé deux pénalties aux Nantais et en a refusé un aux Lensois.
Sur la première faute, Julien le Cardinal accroche, à son insu, le pied d ‘Ignatius Ganago dans la surface, alors que l’ancien lensois ne pouvait plus jouer le ballon. Sur la seconde faute, Jean-Louis Leca maîtrise mal sa sortie et fauche Ganago, le penalty semble justifié, même si le portier lensois affirme le contraire :
“Pour moi le premier penalty, il y a un contact entre Julien Le Cardinal et Ignatius Ganago, mais c’est un sport de contact. Ju arrive dans le dos, le ballon passe à 1,50m au-dessus, il reste debout, je ne vois pas où il y a faute. Et sur le deuxième, Gana perd le ballon, il jette son pied gauche et je le prends dans la tête. Je ne le touche même pas avec mes mains.
Maintenant, ils font comme ils veulent. Je vais arrêter de parler d’eux, ils ne méritent pas non plus.”
Mais admettons même que ces deux penalties soient justifiés, monsieur Turpin aurait du, sans hésiter, désigner le point de penalty sur le coup de pied au visage sur Danso, alors que le VAR, en mode Burger King, n’a une nouvelle fois pas bronché.