Le nom de Stijn Sperings résonnera encore longtemps comme celui d’un échec patent de la cellule de recrutement de l’époque. Arrivé libre à Lens, alors que personne n’avait détecté le vice caché, le milieu de terrain restera une énigme.
Franck Haise avait validé son arrivée à Lens, mais au bout de deux mois, le coach n’en voulait plus, au point qu’il n’avait même pas coché son nom sur la liste des participants à la Ligue des Champions.
Retourné à l’envoyeur, le TFC, Spierings a fait une saison avec quelques hauts et beaucoup de bas, avant de se sauver du club, ne terminant même pas la saison chez les Toulousains.
Puis, il est revenu s’entraîner à Lens. Will Still l’a même utilisé à plusieurs reprises lors des matches de préparation, avant de valider également son départ du club.
Selon plusieurs sources, Spierings aurait déclaré dans un média danois qu’il n’avait pas été aussi bien accueilli à Lens qu’il pouvait l’espérer et qu’il n’était pas arrivé à s’entendre avec le staff et ses coéquipiers, accusant au passage les clubs français en général et le RC Lens en particulier de ne pas être ouvert aux étrangers. Un narratif très étrange quand on connait le nombre de footballeurs étrangers évoluant dans l’hexagone.
Le joueur aurait toujours une dent contre Franck Haise et Joseph Oughourlian, responsables selon lui de son échec à Lens. “Il y avait un Will Still qui m’aimait bien, mais le président voulait que je parte. “ a-t-il déclaré pour expliquer sa présence durant le mois de juillet.