RC Lens – Le Havre (1-1) : Nous avons aimé, nous n’avons pas aimé

Après deux défaites de suite face à Nice et Lille, le RC Lens n’a pas profité de la chance qui lui était offerte de jouer un mal classé à Bollaert.  

Un match nul qui avait saveur de victoire pour le Havre, mais synonyme de renoncement aux quatre premières places pour les Sang et Or, à qui il a manqué de beaucoup trop de choses pour pouvoir performer.

Nous avons aimé :

– La première période d’Elye Wahi, qui n’a vraiment pas eu de chance sur son ciseau qui heurte la barre transversale.
Kevin Danso, impérial dans les airs et qui a beaucoup apporté sur le plan offensif, alors que Facundo Medina était beaucoup  plus timide.
– Même si cela n’a duré que dix minutes plus le temps additionnel, le retour de Deiver Machado a fait plaisir à voir, car il a apporté de la puissance côté gauche.
– L’entrée en jeu en seconde période Neil El Aynaoui , même si l’ancien nancéen n’a pas été transcendant.

Nous n’avons pas aimé :

– La prestation catastrophique de Salis Abdul Samed, même si ce dernier semble s’être blessé à la cheville.
– La prestation en demi-teinte de Przemyslaw Frankowski, même s’il ouvre le score en lobant le portier Havrais, alors qu’il voulait centrer.
– Le match plutôt terne de Facundo Medina.
– Les corners d’Andy Diouf qui ne trouvent jamais preneur.
Ruben Aguilar, qui est passé à côté de son match à son poste de prédilection. Sa faute dans la surface qui amène le penalty de l’égalisation, est la cerise sur le gâteau.
– La nouvelle contre performance de David Pereira Da Costa, aux abonnés absents.
Que Florian Sotoca passe son temps à râler et sorte de son match en permanence.
– La poignée de main très froide entre Franck Haise et Elye Wahi à la sortie de l’attaquant.
– Que Franck Haise sorte Elye Wahi, plutôt que de le faire jouer avec Wesley Saïd à ses côtés. Si un Lensois était en capacité d’inscrire le second but, c’était bien l’ancien montpelliérain.
– Que les entrants n’aient pas changé la physionomie de la prestation lensoise.
– Tous ces centres inutiles qui ne trouvent jamais preneur.