On pensait pouvoir régler les erreurs d’arbitrage avec la VAR mais il s’avère qu’il n’y a jamais eu autant de polémiques depuis sa mise en place.
De plus, le nom de Stéphanie Frappart semble être maintenant associé à la crise de l’arbitrage français. Chaque journée de championnat est désormais émaillée d’erreurs faisant hurler les observateurs.
Sur sa chaîne Youtube, Pierre Ménès, l’ancien journaliste de Canal+ a constaté que les erreurs d’arbitrage étaient surtout fréquentes quand Stéphanie Frappart était sur un match :
“Il y a de gros problèmes, qui tournent autour des mêmes arbitres. Il y a Stéphanie Frappart, qui a accordé un pénalty ridicule à Nice contre Metz, et qui était à la VAR lors de Nantes-Lens et qui n’a pas sanctionné le tacle hallucinant de Zézé sur Pereira Da Costa…”
L’excellent site Tribune Nantaise a fait parler un arbitre officiel amateur concernant les erreurs d’arbitrage durant le match entre Nantes et Lens. Le constat est accablant. Sur la faute de Zézé, qui aurait mérité rouge, l’arbitre est catégorique :
Absolument tous les critères sont réunis. La vitesse, l’intensité et le point d’impact, éléments cumulatifs et nécessaires dans le cas d’un carton rouge pour faute grossière, sont réunis. De plus, un terme de la Loi 12 est à souligner : « Se rend coupable d’une faute grossière tout joueur qui se jette, avec une ou deux jambes en avant, avec mise en danger de l’intégrité physique de son adversaire. Ici, Nathan Zézé se jette incontestablement.
De plus, bien qu’il touche le ballon avec le pied droit, c’est avec les deux pieds qu’il vient heurter le joueur lensois. Le défenseur nantais aurait dû être exclu.