Heurs et malheurs pour Jonathan Clauss

Le 22 septembre dernier, nous titrions de façon prémonitoire « Jonathan Clauss rêverait-il à nouveau d’équipe de France ? ». Visiblement, son vœu a été entendu par Didier Deschamps qui l’a rappelé dans le groupe des Bleus pour la double confrontation contre les Pays-Bas et l’Écosse.

Depuis l’arrivée de Marcellino à l’OM, qui a été remplacé par Gattuso, l’ancien Lensois a été replacé en position de latéral droit dans une défense à quatre et il a visiblement convaincu le sélectionneur français, ce qui n’était pas le cas auparavant, notamment à lors de la dernière Coupe du Monde.
« J’ai réfléchi et je l’ai pris cette fois-ci », a déclaré Didier Deschamps. « De par ce qu’il réalise à ce poste-là, où il n’avait pas joué la saison dernière, il est plus régulièrement sur ses qualités en tant que latéral droit. C’est bien de pouvoir le revoir avec nous dans cette position. »
Clauss sera la doublure de Jules Koundé, qui s’impose de plus en plus comme le n°1 à droite, tandis que Benjamin Pavard, plus à l’aise au centre de la défense, a montré ses limites à droite.

Alors qu’il brille avec l’OM depuis le début de la saison, l’ancien Sang et Or a vécu hier l’ascenseur émotionnel en Coupe d’Europe face à Brighton. Après une première période de très haute volée, où il est impliqué sur les deux buts de son équipe, (2-2), il a malheureusement concédé un penalty, une faute évitable, à quelques minutes de la fin de la rencontre.