Article prémonitoire, avant le match, nous mettions en doute la compétence de Monsieur Batta, qui n’avait pas laissé que de bons souvenirs aux supporters Lensois.

Heureusement pour l’équité sportive, les erreurs d’arbitrage lors du match entre le FC Nantes et le RC Lens n’ont pas eu d’incidences sur le résultat final.
Hier, nous avons assisté à l’impensable. Monsieur Batta, à 5 mètres de l’action, ne voit pas les deux pieds décollés de Nathan Zézé sur le tibia de David Pereira Da Costa.

Un attentat, certes involontaire, qui n’a même pas fait réagir Stéphanie Frappart à la VAR. Malgré le nombre de ralentis, la dame en noir n’a pas jugé bon de demander à Monsieur Batta de revoir les images.
Sur cette action, le rouge était le minimum syndical pour le malheureux nantais qui n’avait pas maîtrisé son geste défensif, le défenseur n’écope même pas d’un jaune …
Même Nicolas Pallois s’est plaint de l’arbitrage et a reconnu qu’il y aurait du y avoir rouge sur la faute de son coéquipier. “Il y a aussi encore des petits trucs d’arbitrage même s’il faut avouer qu’il y a également rouge sur Nathan, le geste n’est pas jojo.” a reconnu l’expérimenté défenseur nantais.

D’autres erreurs d’arbitrage ont émaillé la rencontre, les choix de Monsieur Batta étant contestables sur de nombreuses fautes de part et d’autre.

Certes, l’arbitrage français est victime de la crise de la vocation, mais il parait urgent de mettre au rebut certains éléments qui ternissent l’image de marque de la profession.